[04/09/2004] entrainement entre Miss Marvel et Flash [Kathe]

Ceci était un grand jour, en fait non, car le grand jour était celui où j’avais su conquérir le cœur de Kathe. Je continuais à l’ennuyer comme à mon habitude, même si je m’étais calmée, enfin un peu. Mais en ce jour, on m’avait appris une nouvelle qui allait surement l’inquiéter, quelque chose que jusqu’alors je n’avais jamais effectué. On m’avait assigné à une équipe d’exploration, la troisième équipe ou mon cher ami le lieutenant Campbell, dont celui-ci avait des vus sur la seconde de ma cher et tendre. Mais bon, passons. Donc en ce jour, on m’avait affectée à son équipe c’était donc avec espoir que ma chère major m’apprenne tous ses secrets que je la cherchais. Je la cherchais partout et allait même voir son fameux second pour lui demander, mais celle-ci aussi était introuvable. Alors je n’avais pas le choix je cherchais après elle.

Et pour finir, je la trouvais dans un endroit de la cité ou je n’étais encore jamais venue en compagnie de son second et d’une petite escouade. Je restais en arrière attendant qu’elle a finis, évitant de dire quoi que se soit qui aurait pu la gêner ou encore lui on venait à peine de se mettre ensemble autant éviter que cette histoire ce finisse plutôt que prévu. Alors j’attendais qu’elle donne ses ordres avec cette autorité que je connaissais depuis que je l’avais rencontré. Je l’observais regardant les moindres gestes du major, regardant de temps en temps quelque militaire dont un qui me donnait l’impression qu’il allait s’en dormir. Puis mon regarde se portais à nouveau sur le corps de Kathe, je la regardais souriant et quand elle congédia son escouade, j’arrivais doucement sans faire de bruit derrière elle, passa mes mains sur ses hanches, puis tout autour de sa taille. Je déposais doucement mes lèvres à la naissance de son cou, puis à son oreille.

« Tu sais que tu es sexy quand tu donnes des ordres. »

Je la fis se retourner pour pouvoir l’embrasser et lui dire bonjour comme il se le devait. Je pris donc le temps de l’embrasser, lui disant bonjour. Puis afficha un grand sourire lui demandant.

« Ça te dirait de m’entrainer au combat ? … même si je vais devoir faire des efforts pour me concentrer.»

Elle me fit sourire, me fit rire dans son attitude face à ma demande. Il était vrai que je n’avais jamais approché la salle de gym du SGC, et encore moins lui demande de m’entrainer au corps à corps. Après tout, pourquoi l’aurais-je fait si ce n’est pour signer mon arrêt de mort avec elle avant qu’on s’aperçoive de nos sentiments l’un envers l’autre. Je riais quand elle souleva mon t-shirt essayant de voir des marques de coups sur mon corps ce à quoi je ne pouvais m’empêcher de lui répondre.

« Major Hihgmore, si vous voulez me déshabiller je connais un endroit plus approprier.»

Cela ne me dérangeait pas le moins du moins qu’elle commence à enlever mon t-shirt, ni même si elle m’entrainait dans un endroit isoler. Mais cette inspection me faisait rire, elle se comportait comme si j’étais un enfant qui venait pleurer auprès de sa mère et moi je l’avais laissé faire. Je me tournais et tenais mon t-shirt pour qu’elle puisse inspecter convenablement mon torse et quand l’inspection fût finie, je la regardai avec un petit sourire tout en lui disant.

« - Non, on m’a affecté une équipe d’exploration. Je pense que c’est l’équipe 3 avec le lieutenant Campbell. Alors me suis dit que pour ne pas faire n’importe quoi, je pouvais bien m’entrainer avec la meilleure. »

Je la pris dans mes bras, pris un air à moitié sérieux tout en rajoutant.

« Et puis je ne m’approchais pas de la salle de gym quand tu étais dans le coin pour éviter de me retrouver dans l’infirmerie. Et je me suis entrainée avec toi… à la course. »

J’avais courut et courut dans les couloirs du SGC afin de ne pas me faire attraper par Kathe, c’est d’ailleurs dans une dans ces situations que j’avais rencontrées Shawn et ce qui me tira un sourire. Et je me recentrai sur Kathe, et termina ma phrase.

« Enfin bref, voilà comme on m’a mis dans une équipe d’exploration. Pas que je n’aime pas m’entrainer avec Shawn, mais je préférer que ça soit avec toi. »

Et je l’embrassais tout en lui demandant ce qu’elle en pensait, la rassurant au sujet des missions.

«Ne t’inquiète pas pour les missions. Shawn a tellement peur de toi qu’il me protégera par tout le moyen pour éviter qu’il m’arrive quoi que ce soit. Et puis si je lui dis que c’est une des conditions pour que tu acceptes qu’il puisse sortir avec Ailein, il fera doublement l’effort de me protéger.»

Je pouvais la sentir inquiète, sentir qu’elle n’était pas des plus rassurés. Elle m’avait serrée dans ses bras, comme si elle ne voulait pas que je parte alors que moi je pouvais voir que mes paroles ne la rassuraient aucunement. Je n’aimais pas la voir ainsi, cela me tracassait et m’en voulais déjà de lui donner ce sentiment d’inquiétude. Je la serrais essayant de la rassurer un maximum, de l’apaiser sur ma participation au sein de cette équipe d’exploration. Puis elle, me prit la main recula et me fit avancer avec elle, me disant qu’elle n’allait pas lâche pour autant Shawn, me faisant promettre d’être prudent avec des yeux… des yeux pour lesquels je pourrais tout abandonner, des yeux qui me je pouvais plonger dans l’enfer brulant, alors que sa main elle resserra son étreinte sur la mienne et qu’elle me dévoilait ses craintes. J’avalais ma salive, alors que je la regardais, je découvrais encore une facette d’elle. Je tirais doucement sur sa main, l’embrassa sur le front tendrement, un baiser pour l’apaiser, posa mon front sur le sien alors que ma main encore libre, elle, se plaça délicatement sur sa joue.

«Katherine, je ne t’ai pas ennuyé pendant tout ce temps pour passer quelques jours avec toi. Je ferais tout pour revenir auprès de toi, j’éviterais les chiens de l’enfer comme de la peste et je ne partirai pas de ce monde sans ton autorisation. »

Je l’embrassais au-dessus de son œil droit. Je me montrais plus rassurant possible afin d’apaiser ses craintes.

« Je n’ai aucune envie de te perdre Kathe.»

Je la vis prendre une grande inspiration, pour se calmer puis nous étions repartis prendre le chemin vers la salle d’entrainement, me faisant m’arrêter au bord du tatami, et me lançant des gants et d’autres affaires, pour ma protection, j’imagine, tout en me disant qu’elle allait faire de moi la meilleure scientifique surentraîner. JE souriais à cette réflexion tout en lui disant que je comptais bien là-dessus et que c’était pour cela que je lui avais demandé de m’entrainer.

« T’inquiètes je m’appliquerai, je ne voudrais pas te donner honte.»

Et d’un geste de la main, elle m’invita à engager le combat. Je fis une moue montrant sans le faire expert une certaine réticence à porter le premier coup et elle l’avait remarqué, car elle me fit une réflexion et alors que je fis un pas un peu hésitant elle m’arrêtant en me disant que si je n’étais pas sérieux que je pouvais faire une crois à nos activités personnelles. Je fis une tête des plus étonnés, décontenancer pendant un court instant me demandant si elle blaguait ou non. Puis je repris une tête toute normale et lui répliqua.

« Mais une chose, si tu décides de me punir en faisant ceinture, tu te punis toi même mon amour. »

J’expirais un petit coup, puis fit un pas et donna un coup franc au niveau du ventre comme elle le voulait. Je savais qu’elle n’aimait guère qu’on retienne ses coups et qui plus est je ne voulais pas nous infliger la punition qui me pendait au nez si je n’y allais franchement. Et voilà, l’entrainement commença, j’allais surement me retrouver plusieurs fois au sol. Et je ne doutais aucunement qu’elle allait parer ce coup.

Et elle blaguait, avec un air de femme fragile, qui me tira un sourire, elle me faisait du chantage, en me disant que je ne voudrais pas la faire souffrir d’une telle privatisation. Mais ce fut sa dernière réplique qui me tira un large sourire, me laissa pendant quelque instant rêveur sur la scène que cela pouvait créer, je fis un petit mouvement de tête avec un petit sourire en coin tout en disant

« Je pourrais y assister ? Sinon je me contenterai de reprendre mes longues soirées d’adolescent.»

Puis j’avais portée mon coup de poing qu’elle évita, puis une deuxième et un troisième et là je reçus un coup de genou qui me coupa le souffle et me fit reculer. J’essayais de me reprendre alors que pendant ce temps elle m’expliquait mes erreurs. Elle me parla de ma garde, de mes appuis. Je lui fis un des petits hochements de tête, tout en lui disant d’un souffle court « Ok…. Garde… Appuis… ok… ». Elle s’approcha, me montra pour mes appuis, alors que quelque passant regardait la scène. Elle revient en face de moi, me fit un signe de tête. Je reprenais mon souffle tout disant avec un petit sourire.

«Maintenant, je peux dire que littéralement tu me coupes le souffle. Déjà que c’est le cas, sans même que tu me donnes de coup. »

Je me remis sur mes appuis, comme elle me l’avait montré, et j’essayais de maintenir ma garde. Je me massais un peu l’endroit où j’avais reçu le coup. Après quoi je reprenais les exercices, je devais apprendre à me défendre, apprendre à me préserver. Je veillais à ce qu’elle m’avait dit mes appuis, ma garde, je lui donnais un coup, puis autres. Pour cela je devais donc écouter ma douce et tendre, bien écouter ses cours.

« Tu sais quoi… ça fait bizarre de se faire ruer de coup par sa compagne. Ma virilité, risque d’en prendre un coup.»

Je donnais encore un ou deux coups, puis remis mes pieds convenablement sur ses appuis. J’essayais de garde encore mes appuis, et quand je les perdais, je me replaçais correctement.

Elle n'avait pas l'air d'apprécier mes paroles, qui alors n'étaient qu'une phrase qui se voulait amusante. Mais au lieu de rire, elle me fit une petite démonstration de son art, me planquant au sol comme si je n'étais qu'une simple feuille et m'immobilisa comme si de rien était. Je laissais parler, sans dire un mot, j’acquiesçai, sa réprimande tout en lui disant «ok » et elle relâcha sa prise. Elle se releva et moi après elle avec son aider, puis me regardant dans les yeux, elle me fit comprendre que si elle voulait me ruer de coup ça ne se passerait aucunement de cette manière, chose que je pouvais facilement croire. Je pouvais sentir la Katherine que je connaissais en dehors de nos étreintes amoureuses, puis elle redevient le Kathe que moi seul connaissais sur cette cité caressant ma joue, me souriant. Je lui rendais son sourire, donna un baiser à cette main qui effleurai, mais joue et lui répondit.

« Mmh c'est tentant pour le gros malabar, mais je te préfère quand même. Et je ne disais ça que pour rire, je n'en pensais pas un mot. »

Puis elle me fit un clin d’œil, me donna ses directives, et avant qu'elle ne commence à me porter le premier coup je lui répondis « Aller, fait de moi Rambo ». Elle me donna un premier coup, me laissa le parer sans trop de mal, et elle me corrigea. Le même schéma se répétait, je l'écoutais attentivement, puis on reprenait le cours de nos exercices. Elle continua faisant monter petit à petit la difficulté. Je ne voulais pas arrêter tant que je ne réussissais pas à faire ce mouvement correctement, même si cela allait prendre plus de temps qu'un jour. Mais j'essayais de me concentre, et quand je n'étais plus sur de l'angle je lui demandais. Cela prit du temps plus que pour la garde et les appuis, mais je n'avais aucune envie de me prendre un coup.

« Bon aller encore une fois, un peu plus vite cette fois.»

J'attendis qu'elle reprenne ses coups et essaya de les parer à nouveau, jusqu'à ce que je rate une parade et me prend un coup de pied de sa part. Je me disais que j'avais de la chance qu'elle savait se maîtriser, sinon je ne donnais pas cher de ma peau, ni même de ses adversaires. Je me massais juste un peu les côtes, tout en lui disant que tout allait bien et que l'ont pouvais reprendre.

«Ça va. On peut reprendre. »

Avoir reçu ce coup au niveau des côtes, l’avait inquiète, il avait réussi à faire en sorte à la freiner dans cet entraînement. Je lui avais dit que l’ont pouvait continuer et elle avait fait une petite moue, qui montrait clairement qu’elle n’était pas sûr qu’il fallait continuer, puis elle avait soupiré et d’un doigt lever, m’annonça que c’était la dernière série. Elle me regardait droit dans les yeux, attendant ma réponse, moi je lui souriais d’un sourire en coin, tout en lui disant à contrecœur. “Très bien, la dernière.” Et nous étions reparties dans une série d’attaques que je parais, essayant de me concentrer.

Quand elle fut finie, je reprenais mon souffle pendant quelques secondes, puis entrepris de retirer tout cet attirail que j’avais sur moi et qui me donnait l’impression d’être dans un four ambulant, avec l’aide de Katherine. Elle m’enlevait tout cet équipement tout en me disant que j’étais une tête de mule, de ne pas en faire trop et que ça viendrait avec le temps, je lui répondis sur un ton taquin.

“Mais c’est pour ça que tu m’aimes… enfin en partie”

Puis elle enchaîna sur le coup que j’avais reçu aux côtes, me disant que c’était elle qui devrait me porte, je souriais, alors qu’elle déposait un baiser sur ma joue et me caressa le visage juste avant d’amorcer notre départ. Je passais mes bras autour de son cou et en profita pour laisser un baiser tout en m’appuya légèrement sur elle tout en lui disant que cela était vrai qu’elle devrait me porter, tout en la faisant avancer vers la sortie.

“OK, veux bien te laisser me porter jusqu’à mes quartiers, et pour penser mes blessures je propose sous une douche, cette protection était un chauffage.”

Mais arriver à la porte, au moment où elle s’ouvrit, je me mis à côté d’elle et la pris dans mes bras. Après tout elle m’avait dit qu’elle ne refuserait pas, mais mine de rien dans j’eu un léger rictus du au coup.

“Alors dans je te dépose dans tes quartiers ou les miens? Et pas question que tu descendes tu as dis que tu ne refuserai pas alors tu restes là, même si j’ai reçu un coup et que tout le monde nous voit»

Et je commençais à avancer, sortant de la salle d’entrainement, prenant d’abord la direction de mes quartiers, la portant toujours dans mes bras. Mais au bout d’un moment, je sentais quand même un petit point au niveau des côtes. Je la déposais, tout en lui disant.

“Je te reprends dans mes bras un peu avant les quartiers. Pas que j’ai vraiment mal, mais bon, légèrement.”